Vos repas ont du caractère – Classcroûte
Tout a commencé en 1987, entre les murs jaunes d'or de notre première agence à Boulogne-Billancourt : Boutik de Pub. Ce matin-là, deux hommes sont rentrés, Jean-Claude Goron et Jacques Aparisi, pour nous présenter une idée originale : faire des sandwichs hors normes et les livrer aux entreprises pour amener un peu de saveurs dans le monde tristounet des zones d'activités (les Ulis). Nous avons réfléchi, brainstormé, ri aux consonances franchouillardes du futur nom de l'enseigne, class'croûte, ajouté une phrase vocation : la faim du fin. Dis-moi ce que tu manges, je te dirais qui tu es ! Cet adage a été notre fil conducteur pour créer le vocabulaire de la marque, une forme de complicité avec le consommateur : chaque sandwich portera donc un nom de caractère. L'aristo, le flambeur, l'artiste, l'étourdie, le costaud, la subtile… ont envahi la carte et les discussions de midi dans les entreprises.
Pour fêter les 25 ans de la marque, nous avons conçu cette campagne en forme de galerie de portraits, déclinée sous toutes ses formes. Qui a dit que la vie au bureau était fade ?
Scène de la vie de Bureau…
- Je me ferais bien l’Aristo à midi
- Ah non Elise ! Charles-Henri c’est ma chasse gardée !
- Mais non ! Je te parle du délicieux sandwich au bloc de foie gras de canard mi-cuit !
- Moi j’adore la Coquette !
- Tu parles de Suzie ? avec le décolleté fuchsia…
- Obsédé ! Je te parle de la salade de pâtes fraîches, écrevisses marinées et sauce au yaourt, pomme verte et noix de class’croûte !
- Elise ! C’est quoi un Barboteur ? Un DRH dans le potage qui nous carotte nos RTT ?
- Non ! un sandwich pain viennois, écrevisses, pomme verte, salade roquette, sauce yaourt !
- Oui, je sais Cerise, j'ai fait quelques escapades gourmandes avec l'Intrigante... parfois avec la Galante... mais la Cabotine me fait craquer, c'est la faim du fin.